Elsa était choquée par ses propres mots, elle ne se reconnaissait pas… d’un autre coté, sa jeune sœur lui apparaissait comme de plus en plus dépravée.
Jayson recommença sa pénétration, lentement, voyant jusqu’ou il pouvait s’enfoncer dans sa petite sœur. Sa queue ne rentrait pas entièrement, ce qui n’était pas étonnant étant donné les 1m50 de Lily et sa faible constitution. L’avantage c’est qu’elle était très serrée, et que les sensations étaient décuplées de par ce fait ; et lorsqu’elle contractait ses muscles vaginaux, c’était l’extase qui le guettait. Puis il commença ses va et vient, faisant bouger son bassin et ses fessiers. Lily était relativement bruyante, et ne cessait de gémir, sans doute que la taille du membre de son frère provoquait chez elle quelques douleurs ; mais elle ne se plaignait pas et c’était bel et bien des gémissements de plaisir qui sortaient de sa gorge. Jayson était vraiment excité de pouvoir pénétrer sa jeune sœur qui semblait si fragile et innocente. Il caressait son corps, s’attardant sur son ventre, ses jolis seins tout justes dessinés, et son cou si délicat. Il la voyait submergée de plaisir, découvrant pour la première fois des sensations incomparable, ses gémissements de plaisir provoqués par ses mouvement de bassin ne faisait qu’accroitre son désir. Il avait imaginé ce moment depuis longtemps déjà mais cela dépassait toutes ses espérances.
Lily sentait l’imposant membre entrer en elle, se frayant un chemin avec force, lui arrachant presque le ventre ; la douleur était présente mais le plaisir était plus fort que jamais. Elle sentait son intimité se dilater au maximum pour accueillir ces vingt centimètres de bonheur, rentrant et sortant d’elle comme si il la transperçait de part en part. A chaque fois que la queue chaude et dure se retirait elle sentait comme un vide, un vide qu’elle essayait de combler en accompagnant les mouvements de bassins de Jayson du mieux qu’elle pouvait. Elle sentait l’intrus en elle, touchant son cervix à chaque fois, cherchant à s’immiscer toujours plus loin pour leur plaisir à tous les deux. Elle gemissait déjà de plaisir et de douleur mais elle aurait voulus crier à son frère de ne pas se retenir et lui faire l’amour avec force et bestialité mais elle n’osait pas. Elle voulait sentir ce sexe bandé partout en elle, explorant avec lui toute les possibilités de son corps des heures durant.
Jayson intensifia, l’espace de quelques secondes sa cadence faisant bouger le corps de Lily en tout sens, pénétrant sans ménagement son con et lui arrachant de nouveaux gémissements de satisfaction, puis il s’arrêta net avant de se retirer. Lily restait sur le dos, respirant de grandes bouffées d’air pour reprendre son souffle.
-Met toi à quatre pattes, regarde vers ta sœur, dit Jayson.
Elle s’exécuta et se retrouvait les fesses pointées vers son frère, et la tête à quelques centimètres de sa sœur qui avait repris sa légère masturbation à travers son pantalon.
Jayson avait une vue imprenable sur les fesses de sa jeune sœur. Il pouvait voir son intimité, légèrement écartée par ses précédentes pénétrations ainsi que son anus encore vierge.
Il approcha son gland des ses grandes lèvres, le frottant contre celles-ci avant de la pénétrer à nouveau. Il s’enfonçait en elle plus facilement que précédemment et à chaque mouvement il touchait son cervix alors que sa queue n’était qu’aux deux tiers en elle. Au vue de ses gémissements qui redoublèrent d’intensité, il paraissait évident que sa jeune sœur, trouvait la levrette bien plus excitante.
Sous la vision de sa sœur se faisant pénétrée par son frère juste devant elle, Elsa céda à la tentation et embrassa la fût pucelle. Elle le fit sans prévenir, d’un coup, cédant subitement à ses pulsions. C’était un baiser plein de désir et de fougue, pas un baiser tendre et léger comme aurait pu le faire deux lesbiennes. Elsa laissa sa main explorer la poitrine de Lily, puis le reste de ses formes découvrant à son tour ce corps si jeune et si excitant.
-Jayson à raison, tu es si belle et excitante, souffla Elsa… je suis désolé, s’excusait’ elle.
Jayson n’en revenait pas, jamais il n’aurait imaginé que sa grande sœur puisse se livrer à un acte saphique, et encore moins avec Lily qu’elle protégeait tant. Mais une fois de plus, il ne dit rien et se contenta d’accélérer ses mouvements, tenant fermement sa partenaire par les hanches. Son membre fouillait l’intimité de Lily, entrant et sortant de plus en vite. Jayson sentait la cyprine se faire de plus en présente et déduit que l’orgasme devait la guetter, tout comme lui. Sous l’intensité des coups de rein, Lily rompit le baiser et laissa échapper des plaintes de douleurs et de plaisir. Elle commença à pleurer.
Revenant à la réalité en voyant cela, Elsa s’adressa à son frère un peu paniquée.
-Arrête ! Elle pleure, tu lui fais mal !
Jayson lui aussi prit peur, mais alors qu’il allait arrêter ses mouvements pour ne pas blesser sa jeune sœur, celle-ci lui dit, ou plutôt lui gémit :
-Non t’arrête pas…j’adore ça grand frère… baise moi fort.
Elle n’avait pas bougé de positon mais c’était contorsionnée pour regarder son frère. Jayson ne demanda pas son reste et continua sa cadence infernale pilonnant de plus belle sa grotte humide et étroite qui en demandait toujours plus. Lily ne contrôlait plus rien, c’était son frère qui était aux commandes, qui faisait d’elle ce qu’il voulait, l’utilisant comme il l’entendait, comme si elle était à sa disposition. Même sa sœur faisait de même, explorant son corps avec ses mains et lui arrachant un baiser. Elle adorait cette sensation, celle d’être rien de plus qu’un objet utilisé pour satisfaire des plaisirs sexuels. Elle s’imaginait entrain de se faire prendre par des inconnus, la forçant à leur donner du plaisir contre sa volonté.
Puis sous le coup d’un énième coup de rein qui fit entrer la queue de Jayson dans l’intimité de sa sœur, celle-ci céda à l’orgasme. Violent et puissant. Elle cria presque tellement elle fut submergée de sensations. Quelques gouttes de salive s’écoulaient de sa bouche, s’écrasant sur le sofa. Elle était figée et semblait comblée au vue du sourire et de l’expression de son visage, comme si elle avait atteint l’extase.
Mais Jayson n’en avait pas fini et continuait de la pénétrer de plus en plus violement, alors qu’elle ne bougeait plus, comme une poupée amorphe. Il la tenait de plus en plus fermement par les hanches, sentant la jouissance monter en lui. Lily ne tenait plus sur ses genoux, et alors que son orgasme perdait en intensité, elle était allongée sur le sofa. Jayson la tenait toujours, et seules ses fesses ne touchaient pas le canapé, tenues par les bras musclés du frère. Celui-ci continuait son labeur, la traitant intérieurement de tous les noms imaginables, du simple « salope » au « objet sexuel », en passant par « sale chienne », pour s’exciter au maximum avant de jouir. Il se laissait guidé par ses envies les plus noires, les moins avouables, celles qui l’aideraient à lui faire attendre la jouissance.
-OUI, je vais jouir sur ton cul Lily, oh putain…, dit Jayson alors qu’il ne se contrôlait plus.
L’acte était devenu presque bestial et Jayson atteignait enfin l’orgasme en pilonnant le con de Lily alors qu’elle ne bougeait plus et se laissait utilisée. Jayson se contracta et sa queue gonflait ; il se retira du vagin de sa petite sœur, et jouis sur ses fesses, laissant échapper sa semence et un râle de satisfaction masculin. Quatre saccades libérèrent le précieux liquide, et l’orgasme de Jayson prit fin, lui laissant une sensation de plénitude parfaite alors qui était toujours derrière Lily, en face de sa grande sœur.
Le sperme coulait entre ses jolies fesses, s’écoulant depuis son anus et traversant sa vulve dilatée avant de finalement venir s’écraser sur le sofa, entre ses jambes immobiles et élancées. Jayson avait pris un réel plaisir à baiser sa jeune sœur surtout que celle-ci ne demandait que ça. C’était presque un fantasme qui venait de se réaliser ce soir.
-Magnifique… c’était génial. T’es la meilleure, soufflait Jayson alors qu’il se laissait tomber dans le sofa, le membre à demi bandé.
Lily ne répondait rien, elle souriait, la tête contre le sofa, laissant échapper un peu de salive comme si elle était en transe. Les quelques larmes qui s’étaient formées finissaient de couler le long de son visage
-Ca va ma chérie ? demanda Elsa. Jayson y est allé un peu fort il n’aurait pas dû.
Elle avait arrêtée de se masturber et à nouveau elle caressait le visage et les cheveux de sa sœur.
-Hey, c’est ce qu’elle voulait ! c’est elle qui m’a encouragée ! se défendait Jayson.
Gabriella était gelée de la tête aux pieds à force de rester ainsi dans le froid et sous la neige, les yeux collés contre la baie vitrée de la villa depuis une heure. Elle avait assistée à toute la scène, même si elle ne distinguait pas tout de la où elle était placée, rien ne lui avait échappé. Elle n’en revenait pas de voir ainsi les 3 Braxston se livrer à l’inceste, surtout avec Lily qui n’était qu’une jeune adolescente. Elle se félicitait d’avoir entendue la conversation entre Lily et Jayson plus tôt dans la matinée et d’avoir trouvé le courage d’aller les épier. En temps normal elle serait certainement rester chez elle tranquillement, mais comme de nombreuses femmes elle devait se contenter de se masturber si elle voulait se satisfaire, mais rien ne remplaçait la présence d’un mâle. Comme toute la population féminine la simple vue d’un homme était devenu un fantasme, mais elle côtoyait Jayson tous les jours, et malgré le fait qu’elle trouvait son caractère et sa personnalité méprisante, son physique était loin d’être repoussant. Sans compter que visiblement il savait comment satisfaire ses partenaires.
Sa mère est couchée depuis un moment déjà et Gabriela se glissa dans la maison, profitant enfin de la chaleur de la cheminée plutôt que des -2° de l’extérieur. Elle enlève à la hâte ses chaussures d’hivers et file sur la pointe des pieds jusqu’à sa chambre, évitant les lattes de plancher qui ont l’habitude de grincer. Elle n’allume aucune lumière pour ne pas risquer de réveiller sa mère qui dort dans sa chambre, non loin de la sienne, seules les lumières des diverses guirlandes électriques illuminent la pièce ainsi que la lune se reflétant sur la couche de neige à l’extérieur.
Elle laissa tomber son lourd manteau par terre, sans aucune considération ; tout comme son pull over. Elle n’avait plus qu’une envie après avoir observé les courts ébats des Braxton.
Gabriela se vautra sur le lit dans la quasi pénombre, repensant à cette scène inoubliable, repensant à leur étreinte amoureuse et bestiale. Toutes ces images se bousculaient dans ça tête, elle ne savait pas sur laquelle se fixer, laquelle lui était la plus agréable. Ses mains partirent à l’assaut de son aine, sans préavis, stimulant son intimité à travers le pantalon, caressant l’intérieur de ses cuisses. Rapidement elle remonta son tee-shirt au dessus de sa poitrine, laissant apparent son soutient gorge noir, moulant son imposante poitrine. Sa main droite se glissa rapidement dans son jean, passant sous l’élastique de sa culotte – complètement humide après sa séance de voyeurisme – laissant ses doigts passer entre ses grandes lèvres, caressant son clitoris puis l’entrée de son con.
Gênée par son pantalon, elle se décida à le déboutonner et à le faire glisser jusqu'à ses chevilles, essayant de s’en débarrasser complètement alors que ses mains commençaient déjà à retirer son sous vêtement humide. Son soutient gorge subit le même sort que son tee-shirt et elle le remonta au dessus de ses seins, les laissant libres. Sa main gauche commence alors une masturbation énergique, caressant l’entrée de son con mais sans y pénétrer, titillant son clitoris, alors que son autre main parcourait son ventre et sa poitrine. Elle ne pût attendre plus longtemps et entra directement deux doigts dans son intimité, sans même forcer - sous l’excitation son sexe s’était humidifié et légèrement dilaté ce qui facilitait l’insertion.
Ce n’était pas ses doigts qui lui donnaient du plaisir mais le membre de Jayson, entrant en elle avec force, comme il l’avait fait avec sa petite sœur, la prenant sans ménagement. Elle aurait voulut qu’il lui fasse subir le même traitement, pour qu’elle aussi ressente le plaisir et l’extase. Ce n’était pas non plus sa main qui lui malaxait les seins, ou lui tordait le bout des seins en tout sens, mais Lily avec ses mains douces et son air innocent de petite fille. Sa langue ne se tortillait pas toute seule dans sa bouche mais se déchainait à l’intérieur du con d’Elsa qui c’était assise sur sa tête pour l’obliger à lui donner du plaisir. Elle n’était pas seule dans la pénombre de sa chambre, elle était accompagnée par les trois Braxton, ces trois adolescents lubriques visiblement affamé de plaisirs sexuels. Elle était en compagnie de ses trois adolescents qui à présent s’occupaient d’elle, cherchant à lui faire atteindre la jouissance comme elle le souhaitait.
Gabriela était sur son lit, sa culotte encore enroulée autour de son pied, la main explorant son intimité tandis que l’autre malaxait sa poitrine, les yeux fermés, le dos cambré, la bouche ouverte laissant échapper tout son plaisir par de petits gémissements qu’elle tentait tant bien que mal de réfréner. Elle voulait jouir, libérer son corps de tout ce poids et de cette excitation, multipliant les scénarios les plus excitant et interdits.
Rapidement ce ne fût plus deux mais trois puis quatre doigt qui venait simuler la pénétration du membre du grand frère, et ce n’était plus énergiquement mais frénétiquement qu’elle insérait ses doigts dans son con, malaxant toujours plus fort sa poitrine.
L’orgasme montait de plus en plus jusqu’à ce que finalement il explose, au moment ou elle échangeait un baiser avec Elsa, recevant la semence de Jayson au plus profond de son con. L’effet dura plusieurs secondes, la rapprochant du plaisir qu’elle recherchait mais ce ne fût pas aussi puissant qu’elle l’aurait voulut, la laissant insatisfaite sur son lit, encore plusieurs doigts au fond de son intimité. Elle resta là, seule dans sa chambre, ses vêtements éparpillés sur et à coté de son lit, les yeux grand ouvert sur le plafond. Les images des 3 Braxton se livrant à l’inceste ne la quittèrent pas de la nuit et le sommeil fût difficile à trouver, mais demain elle ne les regarderait plus du tout de la même façon, elle ne verrait plus en eux des personnes qu’elle côtoie, mais des éventuels partenaires.
